lundi 22 octobre 2012

Les origines et les causes de la crise financière :


1- Les origines de la crise financière :

Faillites bancaire que connait les Etats Unis depuis le mois d’août 2007, des milliards de dollar envolés, le capitalisme financier est en crise « Nicola Sarkozy » a expliqué dernièrement que c’étais « la fin du monde », sans donner les sorties de cette crise.
Mais d’autres chercheurs qu’ils ont beaucoup d’intérêt de livrer en tant qu’économistes  en vers le phénomène en question, la crise est d’abord une crise économique,  c’est à dire qu’elle se manifeste au coeur  du processus de productions, de répartitions et de consommations.
Le processus est lui-même est un tissu de conventions et d’échanges mutuels concrétisés par la monnaie : qui dit monnaie symbolise la finance. Si la finance est en crise alors tout le système économique qui s’effondre,  d’où la nécessité  de comprendre ce qui est la crise économique.




Il existe  plusieurs causes qui donnent naissance à la situation actuelle tel que:

  • La friction mondiale ;
  • Les prix des financement de guerre ;
  • L’augmentation des prix énergétiques et alimentaires.


2- Les causes de la crise financière :

La cause de cette crise provient essentiellement de la Variabilité de la politique monétaire américaine au cours des années récentes. Celle-ci est bien évidemment décidée par des autorités publiques, non déterminée par le marché. C’est un événement symbolique des répercussions profondes de la crise américaine des «subprimes» (prêts hypothécaires) sur la santé des marchés financiers internationaux. A tel point que, de Paris à Washington, en passant par Singapour et Tokyo, les quotidiens n’hésitent pas à prédire, du moins pour les plus pessimistes d’entre eux, une crise analogue à celle de 1929 ou tout au moins, une récession économique grave.

             2-1- L’immobilier :

La crise débute à l’été 2007 à cause des « subprimes », des prêts hypothécaires  accepter à la classe moyenne américaine, en temps normal, un particulier qui souhaite acquérir un appartement, peut emprunter, en fonction de son salaire et de sa capacité de rembourser. L’inconvénient du système : l’emprunte est proportionnelle  au salaire. Si  vous ne gagnez pas beaucoup, vous ne pouvez pas emprunter beaucoup,  donc vous ne pouvez pas acheter.
Les américains ont donc créé des « subprimes » : vous empruntez ce que vous voulez. Même si le salaire n’est pas très élevé. Mais c’est la maison qui’ est  en garantie, en claire  si vous ne pouvez pas rembourser, la banque récupère la maison et la vende. Selon cette option la banque devient propriétaire de beaucoup de maisons, comment et à qui  va-t-elle les vendre ?

La crise a maintenant pris de dangereuse proportion. Elle a commencé, après une longue période d’augmentation constante des prix des logements, avec l’éclatement de la bulle immobilière aux Etats-Unis en 2004. De nombreuses familles ont été autorisées à contracter des emprunts pour acheter leur logement. Les prêteurs avaient alors commencé à s’engager dans une pratique dite des « prêts hypothécaires à haut risque » et donc à accorder des prêts à des emprunteurs « à risque » dont la solvabilité ne les qualifiait pas pour prendre des hypothèques pour l’achat de leur maison. Ces prêts à haut risque étaient généralement accordés à un taux d’intérêt faible pendant les quelques premières années mais révisé fortement à la hausse par la suite.

Les économistes ont averti des dangers mais, globalement, personne aux Etats-Unis ne voulait perdre l’euphorie de la bulle immobilière. Chacun semblait y gagner de l’argent : les entreprises de construction, les courtiers immobiliers, les banques comme les fournisseurs de matériaux. Les heureux consommateurs pouvaient enfin, pour la première fois de leur vie, devenir propriétaires. Le gouvernement américain laissait les mains pratiquement libres à l’industrie.

                 2-2-  Augmentation des prix :

La crise des prêts hypothécaires et la solidification du crédit ne sont pas les deux seuls facteurs responsables de la crise économique de 2008. Les prix du pétrole sont au plus haut, tirés par la croissance des besoins d’énergies des économies émergentes telles la Chine et l’Inde.

Cette situation affecte de façon remarquable les consommateurs de manière double. L’élan des prix que sont forcés de payer les consommateurs, pour le carburant de leur voiture et le "fuel" de chauffage de leur logement a entraîné une augmentation dramatique du prix des denrées alimentaires, dont les produits pétroliers permettent d’assurer la production et le transport. Les produits alimentaires sont devenus si chers dans les pays en développement qu’on a même assisté dans certains cas à des révoltes de la faim.

Après la dépression profonde qui avait frappé le prix des matières premières dans les années 80 et 90.

Les années 2000 ont vu en revanche ces prix exploser, en 2008, le prix du pétrole a atteint un niveau que les gens n’ont plus les moyens de payer, dépassant même 100 dollars le baril pour la première fois dans l’histoire en janvier 2008. Mais même cela ne semblait plus rien en juillet quand le pétrole a atteint le prix de 147 dollars le baril. Tout cela a entraîné un ralentissement rapide des économies.

La crise économique est le résultat d’erreurs humaines aux Etats-Unis. Les prix des produits pétroliers ne reviendront jamais au niveau qu’ils avaient dans le passé, et le monde doit apprendre à s’adapter à cette nouvelle réalité.

  • Le baril de pétrole proche de 140 dollars ;
  • Les prix mondiaux de l’alimentation en hausse de 40 %;
  • Une perte estimée de 400 à près de 1 000 milliards de dollars pour le système financier, frappé par la crise des « subprimes ».

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